Au fil des ans, ma femme s'est décidée à prendre le contrôle de ma sexualité en voyant que je n'avais plus de désir pour elle.
Une association féminine l'a formé en quelques mois à devenir une dominatrice zélée.
Au fil des mois, je suis devenu son soumis à la maison.
Chaque soir, elle vient me rejoindre dans la chambre vêtue d'une combinaison en latex ouverte à l'entrejambe mettant en valeur ses seins et sa chute de reins.
Perchée sur ses talons aiguilles avec ses cuissardes remontant jusqu'en haut des cuisses.
Elle commence ma séance de dressage quotidienne en m'attachant aux quatre pieds du lit pour me masturber longuement d'une main habile sans me faire jouir.
Puis, me libérant de mes liens, elle me laisse dans un état d'excitation qui m'empêche de trouver le sommeil.
Le lendemain, à mon réveil, elle inspecte mes draps pour s'assurer que je ne me suis pas masturbé pendant la nuit.
C'est de cette manière qu'elle amplifie jour après jour ma frustration.
Le cunnilingus est le seul plaisir qu'elle m'autorise à lui donner.
Sublimant mon état d'excitation, je ne pense plus qu'à la faire jouir pour apaiser ma propre tension tout en entretenant l'espoir qu'elle me récompense de ma docilité.
Jour après jour, ma perverse épouse a pris peu à peu l'ascendant sur moi.
Quelques semaines plus tard, poursuivant mon dressage, elle me demande de porter la cage de chasteté en métal qu'elle a achetée.
Elle insiste sur le plaisir cérébral et physique qu'elle va m'apporter.
- En t'obligeant à rester chaste, tu auras toujours envie de me faire l'amour quand je le voudrais, m'assure-t-elle.
- Je veux que tu la gardes en permanence nuit et jour car cela renforcera aussi notre complicité.
J'éprouve peu à peu un réel plaisir masochiste à lui obéir en lui confiant la clé de mes besoins émotionnel et physique qu'elle met autour de son cou.
Après une courte période d'adaptation et malgré mes érections nocturnes, je me suis habitué à ma cage au point de me sentir nu lorsque ma femme me la retire pour faire ma toilette.
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