Une fois debout, elle me montra son érectile, “tu la veux” demanda-t-elle tendrement en l'approchant vers moi. Sa voix était si douce que je n'ai pas hésité. Comme une teen débutante maladroite je me redressa et approcha ma bouche de sa flèche. Sa senteur amer avait rempli mes poumons; j'attrapa le gland du bout de mes lèvres et commença doucement à le sucer. On aurait dit une délicieuse banane que je slurpais la faisant glisser entre mes lèvres. Plus j'avançais vers sa racine plus j'y prenais goût; elle remplissait ma bouche et j'avais la sensation de m'être gaver de loukoumis avant de les mâcher doucement. Elle était bien raide et les gémissement de Selmi m'indiquaient que je ne me débrouillais pas si mal... Je la suçais, lêchait, masturbait comme pour la préparer à la grande conquête, à MA conquête. Je brûlais de l'intérieur, j'expirais des flammes.
J'avais totalement avalé la clarinette et pesait les deux boules dans mes mains quand Selmi m'arrêta en se reculant. Et toujours avec la même voix d'ange elle demanda, “on continue dans ce sens comme toi passive ou...”, je me suis levée pour lui sucer les lèvres et murmura, “je veux tout avec toi... mais pas de capotte”. Elle sourit. Elle pris ma main et m'entraina vers une douche réveillante. Les calins continuaient aussi sous la chute d'eau. Une fois que le savon avait parcouru nos corps, elle écarta mes opulences et commencé à caresser mon anneau avec le majeur... elle introduit un phalange puis le reste... et comme mes geignements n'étaient que de plaisir, vint l'assister l'index. Elle me préparait à la noce. Quand j'ai voulu la peloter pour ma part, la MAÎTRE était de retour: “Non!”, puis d'un ton mélodieux “laisse faire, tu ne vas pas regretter”.... Elle saisît un lubrifiant de l'étagère et me tirant par mon champignon elle m'a conduit au grand lit: “Au plât ventre et remonte tes hanches”. Elle écarta bien mes jambes et refourré sa langue mouillée qu'elle rentrait et sortait en éclair comme si elle m'enculait avec.
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