Ainsi, je jouis comme une fille en gémissant et en serrant les cuisses lorsqu'une vague déferlante venue du fond de mes entrailles m'emporte.
Ce plaisir est toujours plus fort que mon orgasme pénien.
Ensuite, à l'aide de mon vibro, je fais couler lentement en continu ma source de vie.
Elle se répand en épaisses coulées blanchâtres sur mon corset avant de s'infiltrer dans la lisière de mes bas cervin.
J'envie toutes ces femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sève au cours de leurs vies.
Parfois pour prolonger mon plaisir, je pose mon vibro jusqu'à ce qu'une goutte de sperme perle à la surface de mon gland.
Puis, je fais une courte pause pour éviter de jouir avant de recommencer.
Ce jeu est très excitant car je me vide lentement en prolongeant mon plaisir et en retardant mon orgasme...
Il m'arrive cependant souvent de jouir de ma chatte à l'aide de mon gode sans éjaculer car mon clito de Sissy reste flasque dans sa cage de chasteté.
Je suis devenue totalement addict à mon jouet en m'en servant presque quotidiennement.
Son diamètre impressionnant de 9 cm et son poids de 1,5 kg me demande de la patience pour le terrasser et arriver à mes fins.
Comme la plupart des femmes, je constate que c'est plus la grosseur d'un sexe que sa longueur qui me fait jouir.
Ma cage de chasteté:
Je l'ai choisis en métal et sur mesure pour qu'elle soit la plus étroite et confortable possible.
J'épile aussi régulièrement mon clito afin d'éviter que les poils ne soient pris à l'intérieur.
Ma cage m'apporte un forte stimulation cérébrale car je me sens plus femme dans ma lingerie en voyant ma queue flasque ayant pris l'apparence d'un clito.
La gardant souvent nuit et jour, je me sens nu lorsque je l'enlève pour faire ma toilette.
En la portant la nuit depuis des années, je m'impose de subir une castration lente mais inexorable car:
- Je ne peux plus avoir dans mon sommeil les érections nocturnes indispensables au bon fonctionnement de mes tissus érectiles qui s'atrophient au cours du temps.
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