baisé en chienne

Alors j'ai tortillé du cul pour que le bout de son bulbe et ma boi-chatte se réunissent enfin... il a poussé dedans et j'ai reculé vers lui; maintenant nous étions collés comme des Siamois. Nous étions immobiles, ou presque, mais la verge de mon cabot se contractait dans ma tube. Puis il a commencé à accélerer, tellement que je ne pouvais pas plus distinguer s'il entrait ou s'il sortait de mon garage à bite. J'étais au sommet de l'extase... mon cul brûlait... mes oreilles sifflaient... mon coeur battait dans ma bouche... Et ça a explosé; ça coulait comme la lave d'un volcan remplissant mon intérieur...
Ma bête continuait sans répit avec sa tige aussi rigide qu'au départ, je l'accompagnais en serrant fort mon anneau: pour ne pas laisser une seule goutte dégouliner et empêcher qu'il me quitte. Nous étions comme ces cabots en nouage après la saillie. Je sentais sa verge chatouiller ma prostate et avancer dans mon tuyau. Je voulais même ses couilles lisses dans moi... moi à quatre pattes, mon mâle sur moi; telle une chienne sous un gros clébard.
Puis vînt la deuxième explosion... ça a giclé de ma boi-chatte mais le brute n'arrêtait pas, il ralenti vers la troisième... j'étais épuisé, je suis tombé à plat-ventre... Mon baiseur a remis son museau entre mes cuisses, il lêchait sa propre semence; alors je me suis retourné et placé mon clito dans sa bouche... il le suçait comme un biberon, c'était mon tour de jouir... Ça n'a pas duré, j'ai explosé dans sa grande bouche. La dernière scène: à même le sol, nous étions tête-bêche, nous nous sucions les verges... Je n'ai pas pu jouir mais le monstre a arrosé ma bouche; j'ai avalé tout ce qu'il a versé dans ma bouche, je l'ai nettoyé propre... je me suis endormi ma tétine! dans ma bouche.